Spectacle "Maréchal, nous voilà" à Paris et Limours


Nouveau spectacle 
La compagnie le Trans Europe Théâtre a le plaisir de vous inviter aux avant-premières de sa nouvelle création

Les 13 & 14 février 2013 à 21 heures
au Théâtre de La Vieille Grille - 75005 – Paris
&
le 19 mars 2013 (10 heures et 14 heures)
au Théâtre La Scène à Limours

Maréchal, nous voilà
d’après les dernières  lettres de fusillés, textes, poèmes, chansons, témoignage d’André Faive et archives vidéos de la Résistance
Ce spectacle bénéficie du soutien du Musée National de La Résistance

Témoignage vidéo de Raymond Aubrac à propos de «  Maréchal, nous voilà » :


Merci de confirmer votre présence  auprès du Trans Europe Théâtre :  
portable production : 06 32 56 61 87 transeuropetheatre@wanadoo.fr /  http://transeuropetheatre.fr




A propos de « Maréchal, nous voilà »
« Chacun est l’ombre de tous » René Char.
Ce spectacle est un rendez-vous musical et poétique avec des hommes et  des femmes « debout » dans la pénombre et la fureur, au milieu des notes de L’Accordéoniste (Piaf) qui griffent le bruit des bombes et des raids aériens .

C’est un rendez-vous avec les derniers mots et maux de résistants assassinés (Missak Manouchian, France Bloch-Serazin, Jean Nicoli, Olga Bancic,Marcel Rayman …), des poètes            (Louis Aragon, Paul Eluard, Mariane Cohn, René Char, Anne-Marie Bauer, Jean Wahl…)  qui gifleront  la scène, no man’s land entrevu  au fond d’un sous-sol de Sarajevo, de Kaboul, de Bagdad, de Grozny ou de Caluire… Poèmes de la Résistance, Poésie engagée, Voix de la Liberté, entrecoupés de chants (Le Chant des Partisans, L’Accordéoniste, L’Affiche Rouge, Maréchal, nous voilà, Göttingen… )

C’est un rendez vous avec l’histoire, notre histoire (le Général de Gaulle, Jean Moulin, Gabriel Péri…)  et Hugo (le résistant, le banni, l’exilé , le prophète, le visionnaire) qui lancera par dessus les flots et les siècles : "La toute Puissance du mal n'a jamais abouti qu'à des efforts inutiles. La pensée échappe toujours à qui tente de l'étouffer. Elle se fait insaisissable à la compression; elle se réfugie d'une forme dans l'autre. Le flambeau rayonne; si on l'éteint, si on l'engloutit dans les ténèbres, le flambeau devient une voix, et l'on ne fait pas la nuit sur la parole; si l'on met un bâillon à la bouche qui parle, la parole se change en lumière, et l'on ne bâillonne pas la lumière.”

C’est enfin un rendez vous avec La Liberté, celle de Paul Eluard  et de son poème parachuté à des milliers d'exemplaires par des avions britanniques au-dessus du sol français.

Pourquoi des Poètes ? Pourquoi des Philosophes ? Pourquoi des Résistants ? Parce qu'ils sont le cri vivant de nos rêves et de nos cauchemars.

Patrick Olivier